Marx et Engels cosmopolites. L'avenir des nations dans le communisme (1845-1848)
|
Par Michael Löwy le 14-07-2003 |
| La phrase célèbre de Marx et Engels qui veut que les ouvriers n'aient pas de patrie est dans toutes les têtes. Elle n'a pas empêché les staliniens de pourchasser le « cosmopolitisme », accusé d'avoir partie liée avec le nationalisme. Si Marx et Engels étaient bien « cosmopolites » au sens d'internationalistes, il semble que leur conception de la nation ait évolué après la révolution de 1848.
Lire ici
|
|
|
Communisme et temps libre
|
Par Michel Husson le 14-07-2003 |
| Le Manifeste du parti communiste expose un programme en dix points, dont le huitième fait un peu froid dans le dos, puisqu'il s'énonce ainsi : "Travail obligatoire pour tous ; organisation d'armées industrielles, particulièrement pour l'agriculture" (1). Plus tard, un passage fameux du Capital ouvre une perspective plus attrayante, et sans doute plus moderne : "La seule liberté possible est [...]
Lire ici
|
|
|
Le "Manifeste" et le dépérissement de l'Etat
|
Par Isaac Johsua le 14-07-2003 |
| La perspective de la "conquête du pouvoir politique par le prolétariat" est au coeur du Manifeste du Parti Communiste. Pourtant, la question de l'Etat n'a fait l'objet, sous les plumes de Marx et d'Engels, que d'une élaboration fragmentaire, certainement incomplète, souvent mouvante. Les formes d'Etat pré-capitalistes ayant été peu évoquées, c'est encore à propos de l'Etat bourgeois [...]
Lire ici
|
|
|
« L'actuel encore actif » du Manifeste communiste
|
Par Daniel Bensaïd le 14-07-2003 |
| Le Manifeste du Parti communiste saisit à la source l'extraordinaire vitalité du Capital en tant que "puissance sociale" impersonnelle, dont le dynamisme bouleverse le monde et constitue le secret de l'accélération de l'histoire : "Tout ce qui semblait stable et solide part en fumée, tout ce qui était sacré est profané, et tous les hommes sont enfin forcés d'envisager leurs conditions [...]
Lire ici
|
|
|